7 oct. 2014

5 habitudes américaines qu'on prend facilement

Quand on vit à l'étranger, il faut constamment s'adapter. Puis, sans même s'en rendre compte, on fini par adopter quelques manies et habitudes de vie de son nouveau pays.  Top 5 des habitudes que j'ai prises ici.






1. Le cash back


Plus pratique, tu meurs.  Au lieu de s'embêter à chercher une banque sa banque pour retirer du liquide sans frais, il suffit de rentrer dans n'importe quel magasin, d'acheter une connerie, de payer avec la carte et de sélectionner "cash back" sur l'écran à la caisse. Et hop ! Le caissier vous tend la somme demandée. Pas de frais banquaire. Super pratique quand, en payant ses courses on se rend compte qu'on a plus de monnaie.



2. Faire ses courses n'importe quand


Tous les magasins ne sont pas ouverts 24h/24 et 7j/7, mais les plages d'ouverture sont beaucoup plus importantes qu'en France. Même si je ne vais pas faire mes courses le dimanche à 2h du matin, il est très agréable de pouvoir y aller sans se demander quel jour / quelle heure il est. Une habitude tellement facile à prendre, qu'il n'est pas impossible d'être outré quand un magasin ferme à 18h le dimanche soir. Quoi ?! Si tôt ??



3. Ne pas regarder la météo


Les clichés ont parfois un fonds de vérité. En Californie, il fait toujours beau et chaud, et jusqu'à présent, c'est vrai. J'ai arrêté de regarder religieusement la météo, tous les jours. Un short, un hoodie et c'est parti. Hyper pratique aussi pour organiser des week end. Il suffit de décider de la destination, le beau temps sera forcément au rendez-vous (sauf peut-être à San Francisco, mais c'est une autre histoire).



4. Tourner à droite au feu rouge


À moins qu'un panneau ne l'interdise explicitement (No right turn on red), le code de la route californien autorise les automobilistes à tourner à droite à un feu rouge s'il n'y a personne. Les premières fois, on n'est pas trop sur de soi et finalement, on finit par le faire sans se poser de question.



5. Acheter des produits bios sans OGM, antibiotiques, hormones de croissance, etc...


En France, je n'étais pas une adepte du bio. Pour moi, c'était surtout un label qui permettait de vendre les produits plus chers. J'étais en revanche une grande lectrice d'étiquette de produit, ce qui agaçait Lionel. Ici, scruter les étiquettes fait froid dans le dos. De l'insuline, de la glycérine, du corn syrup,... Voilà qui a mis un sérieux frein à ma période fou-fou où je voulais tout tester. La première fois que j'ai vu un paquet de viande sur lequel il était inscrit "sans hormones, sans antibiotiques", j'étais refroidie : ça sous entendait que sans cette mention, il y avait tout ça dans la viande. Maintenant, le bio, c'est le minimum.


3 commentaires:

  1. Excellent article. J'ajouterais: vivre en tongs, ne pas se maquiller, le doggy bag si la portion du restaurant est trop grande, l'emballage au supermarché, le respect des zones non-fumeurs, le "bonus 10 cents" quand on ramène son brown bag chez Wholefood, les stations d'essence qui lavent la voiture (l'essence la moins chère de Santa Barbara offre ce service, c'est top), ....

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  2. 2-3-4, sans doute les meilleurs points! :) Effectivement, le fait de l'emballage au supermarché m'a marquée! Denrée rare en Belgique (en ce qui me concerne). Je ne suis partie que 10 jours et je peux déjà dire USA tu me manques!

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  3. Hello !
    Je viens de découvrir votre blog, il est top!
    De notre cote, on a découvert le cash back ici en Australie et je confirme, c'est top !
    Je ne connaissais pas du tout la règle du "No right turn on red", ça doit perturber au début :)
    Bonne journée,
    Marianne

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