Aaahh !!! Le fantasme de la démission
fabuleuse ! Je me suis abstenue, je caresse l’idée de revenir, autant garder de bons
rapports jusqu’au bout ! Si une fortune pharaonique m’était tombée toute
cuite dans les bras, je ne dirais pas …
Six mois que j’avais prévenu de mon départ et
pourtant, j’étais la première étonnée quand le dernier jour est arrivé. J’ai
l’impression que je vais revenir m’assoir à mon bureau lundi et reprendre mon travail
là où je l’ai laissé, après un week-end toujours trop court. Dingue.
Comme le dit la formule consacrée : « je ne réalise pas ». Ce qui ne m'a pas empêché de chouiner comme une madeleine toute la semaine dès que je rentrais chez moi (je peux vous l'avouer maintenant, collègues !). Les derniers jours ont été bien denses en boulot et en émotions, il y a eu de la larmichette de-ci de-là.
Le couperet était déjà tombé
au moment où j’avais signé mon arrêté de mise en disponibilité (daaaaaaaaaa !!!! Mais qu’est ce que je suis en train de faire ??!!). Plus moyen de faire marche arrière quand
le papier est signé, je ne travaille officiellement plus à partir de la date
indiquée sur l’arrêté (jusqu’en
2015 ? il y a marqué 2015 !!). Et on ne négocie pas avec l’administration,
tout le monde sait ça.
Plein de petites attentions, de petits mot et de petits cadeaux les derniers jours. Médaille d'or des collègues les plus choupinous d'amour ! Merci pour tout les gars, je me suis bien marrée ! A dans deux ans !
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